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Conseil National du 04 Avril 2010 |
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Conseil National de l'USD du 04 Avril 2010
Le Conseil National de l'USD s'est réunit à huit-clos le 4 avril 2010 à Paris.
Jonathan Dima-Ruggiano, membre du Secrétariat National de l'Union Sociale Démocratique et porte-parole de notre tendance est intervenu à l'occasion du débat sur la préparation du prochain congrés de l'USD :
" L'Union Sociale Démocratique, lors de son prochain congrès national, va devoir faire œuvre de clarification. Tout d'abord, une clarification politique.
Comment peut-on, dans le même texte, vouloir abolir "toute forme de domination" et vouloir "œuvrer à l'unité de la gauche altermondialiste", sachant que cette "gauche", si elle se présente à toutes les échéances électorales possibles et imaginables, le fait dans un seul but, remplacer la droite dans le rôle de gestionnaire de l'État, garant d'un systême marchand que, dans ce même texte, nous prétendons vouloir abolir.
Nous devons en finir une fois pour toutes avec cette schizophrénie.
Et nous devons enfin choisir entre les deux voies qui s'offrent à nous : briguer tous les postes électoraux et devenir les valets d'un monde que nous prétendons combattre, ou enfin œuvrer à l'édification d'une société basée sur la libre-coopération entre individus, la solidarité et le respect de l'écosystème, en devenant un mouvement de lutte et de réflexion, sans aucune concession envers l'État et le système marchand, qui transforment notre planète en poubelle et l'être humain en travailleur soumis. "
Voir le compte-rendu du Conseil National, par Jonathan Dima-Ruggiano.
Ordre du jour du Conseil National:
- Bilan des élections régionales
- Préparation du prochain congrés de l'USD
- Préparation de la prochaine conférence nationale des élus de l'USD.
- Mise en place d'un appel à contributions pour réactualiser le projet du parti
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Ni ici ni ailleurs ! Contre toutes les nuisances industrielles |
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À Notre-Dame-des-Landes, entre Nantes et Saint-Nazaire, ça fait déjà 40 ans que des gens résistent au projet d’aéroport du Grand Ouest. Prochain rendez-vous le 27 juillet pour occuper l’aéroport existant de Nantes-Atlantique, en soutien aux occupant-e-s menacé-e-s d’expulsion.
De l’autre coté des Alpes, dans le val de Susa, c’est contre la ligne ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin - « le TAV »- que les habitant-e-s résistent depuis 15 ans. Après une manifestation de plus de 50 000 personnes le 3 juillet, un campement est organisé jusqu’au 30 juillet à Chiomonte.
Pour se réapproprier les terres agricoles et les savoir-faire qui permettent notre autonomie, les rencontres du réseau « Reclaim the fields » se tiendront à Rosia Montana, village de Roumanie menacé par un projet d’extraction aurifère, du 21 au 30 septembre 2011.
Dans bien d’autres endroits encore, des personnes résistent à ces projets industriels et défendent leurs moyens d’existence, au pays basque contre la ligne à grand vitesse, au Chili ou au Brésil contre des barrages, ici contre le gaz de schiste.
Les aménageurs du territoire et autre bétonneurs ne manqueront pas de nous dire que ce ne sont que des revendications « Nimby » -not in my backyard (« pas dans mon jardin »)- égoïstes et particularistes. Il s’agit au contraire d’affirmer que « quand on ne veut de nuisances nulle part il faut bien commencer à les refuser exemplairement là où on est » [1] .
Notes :
[1] Adresse à tous ceux qui ne veulent pas gérer les nuisances mais les supprimer, Encyclopédie des Nuisances, juin 1990. |
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DON'T NUKE THE CLIMATE ! |
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Lors du sommet de Copenhague, en décembre prochain, les gouvernements du monde entier se devront d’aboutir à un accord pour obtenir des objectifs ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ils devront également prévoir une enveloppe financière conséquente pour financer à la fois la lutte contre le changement climatique et l’adaptation à ses conséquences irrémédiables.
Jusqu’ici, le nucléaire avait été - à juste titre - écarté des mécanismes de lutte contre le changement climatique. Cependant, beaucoup d’indices laissent penser que le lobby cherche maintenant à peser sur les négociateurs pour faire étiqueter le nucléaire parmi les énergies propres et bénéficier de nouveaux financements. Nos dirigeants se laisseront-ils persuader de financer le risque et de détourner des sommes considérables des vraies solutions ?
C’est dans ce cadre que le réseau Unité, Solidarité, Ecologie apporte son soutien à la future campagne internationale "Don’t nuke the climate" coordonnée par le Réseau "Sortir du nucléaire".
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